Renée Guimond-Plourde partage ses recherches en psychologie positive
Ottawa - Renée Guimond Plourde, professeure-chercheuse du Secteur éducation et lettres de l’Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE), a partagé ses connaissances lors du 2e congrès canadien de psychologie positive qui s’est tenu du 15 au 18 juillet dernier à Ottawa.
Madame Guimond Plourde a présenté la communication « L’expérience vécue du stress-coping chez des étudiants universitaires : avenues prometteuses en psychologie positive ». La psychologie positive est un nouveau courant sur lequel ont discuté plus de 500 délégués. Pour Renée Guimond-Plourde, cette présence au sein d’une première Canadienne en psychologie revêtait un cachet particulier.
« Ma formation doctorale et mon agenda de recherche s’incarnent dans l’interdisciplinarité où des liens entre des disciplines respectives sont invités au dialogue et à l’enrichissement mutuels, ce qui me permet de traverser la frontière de l’éducation et de contribuer à l’avancement des connaissances dans d’autres secteurs de l’activité humaine, comme la psychologie. Cette recherche, conduite auprès de jeunes inscrits dans un parcours d’études universitaires de premier cycle, a permis d’enrichir le discours en psychologie positive en distinguant le fait que la dimension existentielle de la spiritualité fait partie intégrante de la santé et de la quête du bonheur », a expliqué la professeure-chercheuse.
L’organisatrice du symposium francophone, la professeure titulaire au département de psychologie de l’Université de Sherbrooke, Lucie Mandeville, qualifie cette réalisation de mémorable :
« Quel évènement inspirant de voir ces différents acteurs partager leur vision du « beau côté » de l’humain! Les présentateurs étaient tous des francophones qui travaillent au Québec, au Nouveau-Brunswick ou en France dans des domaines divers : psychothérapie, psychologie générale, éducation, psychologie communautaire ou du sport. Comment ne pas être impressionnée par l’extraordinaire richesse et la diversité des expériences de chacun, dans leurs domaines et environnements respectifs. »
Cette recherche de madame Guimond Plourde est financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH).
