Fredericton– Les Néo-Brunswickois pourront contribuer publiquement à la promotion d'écoles, de communautés et de milieux de travail sans intimidation en participant à la septième Journée du chandail rose qui sera célébrée le mercredi 26 février.

« Tout le monde devrait pouvoir se sentir en sécurité, respecté et accepté dans notre société », a déclaré la ministre de l'Éducation et du Développement de la petite enfance, Marie-Claude Blais. « J'encourage tous les Néo-Brunswickois à porter du rose le 26 février pour exprimer leur opposition à l'intimidation et manifester leur appui à l'objectif de bâtir une province plus inclusive. »

La première Journée du chandail rose a eu lieu en 2007 après que deux élèves adolescents de la Nouvelle-Écosse ont encouragé leurs pairs à porter des tee-shirts roses pour soutenir un élève qui subissait de l'intimidation. Depuis, des écoles, des entreprises, des communautés et des gouvernements de partout au Canada soulignent la Journée du chandail rose le dernier mercredi de février.

Le gouvernement provincial continue de préconiser une approche à plusieurs phases pour combattre l'intimidation. Les mesures qui ont été prises et celles qui sont en cours comprennent :

●    la présentation, en mai 2012, de modifications à la Loi sur l'éducation qui mettent davantage l'accent sur la prévention, la dénonciation, les enquêtes et les mesures à prendre en cas d'intimidation dans les écoles;
●    la nomination de deux coordonnateurs provinciaux de la lutte contre l'intimidation en novembre 2012;
●    la promotion de milieux sécuritaires, sains, inclusifs et propices à l'apprentissage et au travail, en collaboration avec les districts scolaires, les écoles, les directions d'école, le personnel enseignant, les élèves, les parents et les communautés;
●    le lancement de la Semaine provinciale annuelle de prévention de l'intimidation en 2012;
●    l’observation de la Journée annuelle contre l'intimidation au Nouveau-Brunswick en décembre; et
●    la promotion annuelle de la Journée du chandail rose.

« En tant que gouvernement, nous sommes fiers de continuer à jouer un rôle de chef de file dans la lutte contre l'intimidation au Nouveau-Brunswick, a affirmé Mme Blais. L'intimidation est un enjeu social complexe qui exige la mise en place d'une solution à volets multiples. Nous pouvons tous participer aux efforts pour y mettre fin. Je demande à tous les Néo-Brunswickois de collaborer en vue de réduire et de prévenir l'intimidation et d’aider à bâtir un Nouveau-Brunswick plus fort où chacun se sent valorisé. »